"Nous ne sommes pas du côté de la loi, mais de celui de la révolte !" Asli Erdogan
jeudi 17 avril 2014
Le matraquage anti-social s'amplifie !, par Ensemble
L'addition pour les salariéEs et la population va être lourde. Pas de revalorisation des prestations sociales, des pensions jusqu'en octobre 2015, à l'exception du minimum vieillesse. Pour le RSA et d'autres allocations, augmentation décalée d'un an. Economies drastiques concernant les parcours de soin, la consommation de médicaments. Gel du point d'indice des fonctionnaires, en vigueur depuis quatre ans, reconduit. Rétablissement de l'équilibre financier de l'Unedic d'ici 2015, par la révision à la baisse des indemnités. Ce n'est pas le rejet du sous-Smic ou le maintien des créations de postes dans l'éducation qui rendront la pilule moins amère.
La réduction du déficit public à 3% en 2015, acceptée par les gouvernements de l'Union européenne, les 50 milliards de réduction des dépenses publiques pour financer les 30 milliards de cadeaux supplémentaires au patronat vont grever lourdement les moyens d'existence de la majorité de la population.
C'est la rançon d'une politique d'austérité qui prend le visage des pacte de stabilité et de responsabilité. Nous étions des dizaines de milliers dans les rues de Paris le 12 avril pour refuser cette politique qui fait tant de dégâts en France et en Europe.
De nouvelles échéances doivent être fixées pour poursuivre la mobilisation unitaire. Faisons des élections européennes du 25 mai un référendum contre les politiques d'austérité.
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On ne pouvait mieux résumer, il y a de l'argent pour une dette que le peuple n'a pas contracté mais pas pour les fonctionnaires depuis 2010 alors que Challenge a établi que les plus riches ( les 500 fortunes de France ) se sont enrichis de 25 %, résultat ils cumulent environ 350 milliards d'euros... la crise n'est pas pour tout le monde !
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