Près de 5000 manifestant-es dans les rues de Nantes, dont
une large majorité de jeunes, lycéen-ne-s et étudiant-es, cette journée du 17
mars restera comme celle d’un premier relai entre salarié-es et jeunes dans un
même combat pour le retrait de la loi Travail.
Les supposées inflexions du
couple Valls-Berger n’y auront rien changé : la jeunesse refuse d’être
condamnée à la précarité et à la soumission patronale à perpétuité.
Pour le
retrait de la loi El Khomri, les échéances des 24 et 31 mars sont déjà fixées.
Il s’agit maintenant de renforcer et de fusionner dans une même mobilisation la
colère et le refus de la jeunesse avec ceux des salarié-es.
« Jeunes mais pas cons » affirmait un
carton brandi par une manifestante. La mobilisation et le dynamisme de cette manifestation en sont une nouvelle démonstration.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire